Définir !
La gestion de projets est un vaste sujet, il est évident que je ne peux pas répondre à toutes les demandes, d’autres professionnels sont bien plus calés que moi. Néanmoins, commençons par définir ce que j’entends par gestion d’un projet.
Algorithmique
Définir une algorithmique, donc un processus logique, d’une idée, mènera à établir un plan et en conséquence à sa gestion. D’une idée, on passera au projet, zone intermédiaire entre l’idée et sa mise en production. La gestion d’un projet est nécessaire dans plusieurs cas :
- Migration
- Exemple: Changement d’environnement ou de machine…
- Evolution
- Passage sur une nouvelle version d’un logiciel, données dans un autre lieu…
- Changement
- Par exemple: Nouveaux ordinateurs, nouveau serveur, nouveau réseau ou mode de connexion…
Bien sûr, ces mots se recoupent. Néanmoins, quoique l’on fasse, il est fortement conseillé d’établir un plan d’avancement, autre nom que l’on peut donner à gestion de projets. Ce plan permettra d’établir la direction, les étapes, les intervenants, les tâches et le temps qu’on y accorde. Le plan vient en complément du cahier des charges, celui étant la définition des besoins et non sa programmation dans le temps. Le cahier des charges permettra de solliciter les intervenants ainsi que la distribution de lots. Chaque lot, donc étape, devra contenir son cahier des charges et tout ce petit monde se verra affecter les tâches et le temps que la gestion de projet accordera à l’intervenant.
Cette hiérarchie est nécessaire afin de mener à bien une idée. L’idée par essence est abstraite d’où cette quasi obligation de passer par la gestion de projets afin de mener à terme cette idée.
Ce support qu’est la gestion de projets est faite soit avec un logiciel approprié soit avec un agenda qui est la base d’un logiciel de gestion de projets. Mais au stade où l’on est obligé de passer par un logiciel dédié, généralement on a aussi une personne dédiée au suivi de l’avancement. Sa tâche consistera à maintenir l’agenda à jour, de redéfinir les tâches en cas de retard, de rappeler les délais aux intervenants et rendre des comptes à la hiérarchie.
Concrètement, ça donne quoi ?
Ce qui peut le plus peut le moins, dans le cas d’une migration d’un système d’exploitation vers un autre.
Exemple : Un société d’une dizaine de personnes. Le gérant souhaite passer du système d’exploitation Windows vers Linux. Le cahier des charges sera nécessaire pour plusieurs raisons :
- Absence de connaissance du nouveau système d’exploitation
- Migration en fonction des charges de poste, donc hiérarchiser.
- Si des logiciels utilisés n’ont à priori pas d’équivalents dans le monde Linux
Pour la première, la formation sera obligatoire. Son niveau sera défini en fonction du niveau d’autonomie souhaité.
La deuxième, implique que la production de l’entreprise ne soit pas interrompu par la migration et donc, demande la hiérarchisation du mécanisme de migration par individu par poste ou équipe.
Enfin pour la troisième, on pourra chercher un adaptable, comprenez avec les sources. Utiliser des machines virtuelles voire faire développer un nouveau logiciel et pourquoi pas la sous-traitance.
On peut entrevoir dans cette exemple incomplet qu’avant même de se lancer dans le cahier des charges, un bon nombre de questions nécessitent une réponse.
Voilà à quoi, je peux vous aider.